Méthodes agiles

J’ai assisté hier à l’Open Space sur les méthodes de développements Agiles organisé par l’association eXtreme Programming France et La cantine.

J’y ai retrouvé bon nombre de sympathisants Ruby On Rails vu au dernier BarCamp.

Le modèle actuel :

Actuellement, la majorité des personnes impliquée dans des projets pratiquent le modèle du Cycle en V.

Source WikiPedia

Ce modèle nous permet de réussir la bonne mise en place de nos projets mais présente quelques inconvénients pour les développeurs (Tests de validation) ainsi que pour les clients (Recette).

La quête du Graal :

Barry W. Boehm a introduit en 1986 un nouveau modèle de développement itératif et incrémental, précurseur des méthodes Extreme programming, Scrum ou Crystal clear

Un manifeste écrit par 17 personnalités introduit 4 valeurs fondamentales déclinées en 12 principes permettant de définir une nouvelle façon de développer des logiciels.

Celui-ci place l’humain au cœur du système.

Les sessions :

Agilité à monter soi-même : cet atelier pratique était animé par Laurent Bossavit, auteur du livre La gestion de projet : EXtreme Programming.

Nous avons pu nous initier à la notation XP permettant de représenter des processus. On a pu alors découvrir des cercles vertueux/vicieux. On a pu en déduire des interventions à apporter pour éviter les cercles vicieux.

Ces notations doivent être corroborées avec des mesures de performance à l’aide d’outils ou de méthodes annexes.

Auto-organisation : cette table ronde a essayé de définir le terme d’auto-organisation.

Les points forts ressortis :

  • l’entraide dans l’équipe de développement
  • plus de nécessité d’avoir un chef de projet
  • organisation en binôme
  • participation collégiale aux décisions
  • prise d’initiatives

Conclusions :

Lors de l’XP Day qui s’est déroulé en mai 2008, un questionnaire avait été remis aux participants afin d’obtenir un retour d’expérience concernant la mise en place de méthodes agiles.

Il en est ressorti que l’agilité a permis une forte augmentation de la qualité du code, une motivation de l’équipe de développement augmentant la satisfaction du client, ce qui est au final l’essentiel !

Cet Open Space a confirmé cette idée.

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